
Samedi 15 juin, un après midi a été consacré à s’échanger des idées pour la défense de chasse sous marine. Derrière les trois éminents représentants de la FIPIA, 100 000 “pescatore in apnea”. Et oui, 300 000 chasseurs sous marins enregistrés en Italie… Si nous avions un portail déclaratif en France, la pêche sous marine deviendrait une force.
Les pêcheurs transalpins restent toutefois confrontés à des problématiques similaires aux soucis français : discrimination dans les interdictions, mesures de “gestion” qui ne sont que masques.
Comment positionner, défendre, la pêche sous marine de loisir ? Quels appuis ? Quelles méthodes ? Autour d’un expresso et d’un panino, ce fut des visions d’écrans, des traductions, des surprises (crustacés interdits en Italie, de quoi faire frémir un Breton !).
Un instant sincère et qui vient ponctuer des années d’amitiés et de passion de la mer partagée. Vivement notre prochaine rencontre.